Les structures

Parce qu’elle étudie la matière et ses transformations, la chimie est par définition à l’interface de toutes les disciplines : biologie, physique, écologie, ingénierie, etc. Les unités de recherche de CNRS Chimie sont à même de développer les nouveaux outils dont auront besoin les partenaires. C’est donc naturellement que CNRS Chimie mène sa politique scientifique avec les autres instituts et la Mission pour l’interdisciplinarité du CNRS.

Pour mettre en œuvre cette politique, CNRS Chimie mobilise ses ressources (personnels, laboratoires, moyens financiers) au service de la communauté de la recherche en chimie et au-delà.

12 000 personnes dans 147 laboratoires

CNRS Chimie compte plus de 147 laboratoires qui fédèrent environ 12 000 personnes employées par le CNRS et ses partenaires : chercheurs, enseignants-chercheurs, ingénieurs, techniciens et administratifs. Nos chimistes sont principalement rattachés à 6 sections disciplinaires du comité national pour la recherche scientifique, instance d’évaluation avec laquelle CNRS Chimie interagit étroitement. CNRS Chimie bénéficie également de l’aide et des avis de son conseil scientifique référent, régulièrement associé à l’élaboration de la politique de l’institut.

Des laboratoires multipartenariaux

Les  laboratoires rattachés à CNRS Chimie sont construits sur le modèle d’un partenariat avec des acteurs académiques, divers organismes de recherche et des entreprises autour de projets scientifiques communs.

Cette structuration amène CNRS Chimie à travailler en concertation avec des universités, des écoles d’ingénieurs, des organismes comme le CEA, l’Inserm ou l’Inra, mais aussi des industriels. Le partenariat avec des établissements étrangers est une des briques de sa politique internationale.

Une structuration adaptée au contexte

En accord avec ses partenaires, CNRS Chimie structure ses laboratoires sous des formes juridiques très diverses, adaptées aux enjeux : unité mixte de recherche (UMR), unité mixte internationale (UMI), unité mixte de service (UMS), unité propre de service (UPS), etc.

Les laboratoires peuvent eux-mêmes se regrouper au sein de différentes structures afin de mieux tirer parti de la complémentarité de leurs travaux et de partager leurs équipements et/ou recherches : fédérations de recherche (FR), groupements de service (GDS), groupements de recherche (GDR), groupement d’intérêt scientifique (GIS), etc.

Chiffres clés

  • 5 043 chercheurs et enseignants (dont 1 525 CNRS)
  • 2 861 ingénieurs et techniciens (dont 1 435 CNRS)
  • 3 797 doctorants et post-doctorants
  • 147 unités de recherche        
  • 65 groupement de recherche et structures fédératives
  • 25,5 millions € de budget annuel

Source : Zento 2019

  • 4 prix Nobel depuis 1987
  • 240 brevets prioritaires et 11 licences exploitées en 2019
  • 180 start-up